La dictature des associations dites "de réinsertion"
Il faut revoir le statut de ces associations dites " de réinsertion " qui sont des usines à gaz financées (au travers des impôts et cotisations) par les artisans dont elles piquent le boulot. Ces associations, bourrées de subventions et d'exonérations n'emploient que des chômeurs en fin de droit qui y viennent pendant 122 jours reconstituer leurs droits au chômage où ils retournent illico dés que c'est possible pour 122 jours.. Ensuite ils recommencent le circuit. Ces associations se voient confier majoritairement par les collectivités locales des chantiers qui échappent ainsi aux entreprises qui paient les cotisations plein pot. Elles disposent d'un encadrement excessif et très très bien payé, ce qui rend souvent les travaux qu'elles effectuent beaucoup plus chers que par les entreprises normales. Qu'à cela ne tienne, c'est pour la bonne cause se disent les élus du politiquement correct , complices et c'est le contribuable qui casque. Il est intéressant de constater qu'aucun syndicat ne s'est inquiété de cette dérive associative au préjudice des entreprises et de l'emploi.